Signification : ce n’est pas extraordinaire, remarquable.
Origine : Cetteexpression est utilisée pour déterminer une chose qui n’est pas extraordinaire. En effet, un canard n’a que deux pattes, il est donc impossible de lui en casser trois !
Pour certains, il pourrait y avoir une autre explication. Le mot « canard » était utilisé autrefois pour désigner un cheval cagneux, dont seul un valeureux cavalier pouvait venir à bout, et lui casser éventuellement une ou plusieurs pattes.
Signification : dormir profondément.
Origine : Morphée, dans la mythologie grecque, est le Dieu du sommeil. Il est le fils d’Hypnos (Dieu de sommeil) et des Nyx (Déesse de la nuit). Il nous apporte le sommeil et les rêves en répandant sur nous des graines de pavots soporifiques. Il a d’ailleurs donné son nom à la morphine de par ses vertus calmantes et soporifiques.
Morphée est représenté avec deux grandes ailes, et les bras ici, nous font penser à la protection, mais aussi à un berceau pour nous emmener avec tendresse dans la nuit.
Signification : Se dit d’une personne pratiquant la religion chrétienne et fervent adepte de la messe.
Origine : Les grenouilles sont incapables de vivre loin de leur marre bien longtemps. Cette expression nous rapporte à cette idée de dévotion et de besoin. Le bénitier fait ici référence à la mare tant convoitée des grenouilles. Et les grenouilles font elles référence aux bigots. Donc on compare dans cette expression les grenouilles aux fervents pratiquants, qui ont un besoin vital de leur eau.
Signification : Raconter ou entendre des propos complétement excessifs et abusifs.
Origine : Au XVème siècle, le mot « vert » avait plusieurs significations. Il pouvait signifier plaisanterie, ou propos désagréables. Dans cette expression, on note les deux termes, « verts » et « pas mûres » qui veulent quasiment dire la même chose. Cette expression insiste bien sur la notion d’acidité, de sensations désagréables. Cette répétition amplifie l’expression et son côté excessif.
Signification : Dire du mal sur une personne, la critiquer en son absence.
Origine : Cette expression nous vient du 19ème siècle. Le terme « sucrer une personne » voulait dire « prendre pour un imbécile ». Le verbe casser montre bien le sens d’agression. Puis l’expression « casser le morceau » symbolisait la dénonciation.
Donc tout cela démontre bien le fait de vouloir faire du mal sciemment à une tierce personne, à son insu et en y prenant du plaisir
Signification : Le boute en train désigne le fanfaron de la soirée, celui qui amuse et fait rire tout le monde.
Origine : Le boute en train est un cheval stérile artificiellement, dont la seule fonction est de rechercher les femelles fertiles, qui seront ensuite réservées à un étalon déterminé.
La notion de boute en train désigne donc un être qui est là pour trouver et apporter le plaisir.
Signification : Intervenir le dernier dans une discussion et vouloir en prendre l’avantage.
Origine : Cette expression nous viendrait du XVème siècle. Elle insiste sur le fait qu’une personne qui entrerait dans une discussion, n’en ressortirait pas tant qu’il ne sera pas le dernier à parler et donc le dernier à émettre son avis. Ce que avis sera donc retenu.
On retrouve ici la notion de point final qui conclue une phrase un fois pour toute.
Signification : Sécher les cours, aller se balader au lieu d’aller à l’école
Origine : l’origine est bien mystérieuse et il en existe de multiples.
Le plus logique, c’est de penser au mot buisson, mot qui évoquerait les champs, les prairies, et donc les élèves qui flâneraient parmi eux !
Pour d’autres, cette expression remonterait au Moyen-Âge, où l’on faisait parfois l’école parmi les buissons, clandestinement, a l’abri du clergé qui dirigeait tout à cette époque.
il y a aussi ramene ta fraise qui veut dire vient toute suite ramene toi
Signification : Mystère !
Origine : Cette expression a été employée pour la première fois en 1949 par Montherlant en 1949 dans sa pièce Demain « il fera jour ».
Cette expression ne serait en fait qu’un simple jeu de mot autour de « mystère de la Bégum » venant du roman « Les 500 millions de la Bégum ».