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Piège tes amis


Amis – Ennemies?

Piège les !!!!

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Signification :

Critiquer une personne

Origine de l’expression « Jeter une pierre dans le jardin de » :

Expression du début du XVème siècle où le jardin prendrait le sens figuré de l’image servant à représenter une personne.

De ce fait jeter une pierre dans ce beau jardin c’est automatiquement le rendre moins beau, moche à regarder. Comme ce jardin représente la personne, le fait de jeter cette pierre et donc cette critique servirait à l’attaquer dans son intégrité.

Expression française synonyme :

Lancer une pierre

Signification :

Se battre à coups de couteau

Origine  de l’expression « jouer du couteau »:

Expression française qui viendrait des œuvres de Rabelais du XIIème siècle existant sous la forme jouer des couteaux et signifiant « se battre à l’épée« . Par contre jouer du couteau aurait pris le sens par plaisanterie de faire l’amour au XVème siècle et de manger beaucoup au XVIIème.

Exemple d’utilisation :

« A l’aspect de tous ces visages diaboliques, Philippe Goulenoire se mit sur son séant et se frotta les yeux « par la mort ! Dieu ! s’écria-t-il en saisissant son poignard, voici l’heure où il faut jouer des couteaux. » (H. de Balzac)

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Signification : exposer une personne à des critiques vives

Origine : Expression française qui puiserait ses origines dans l’histoire et plus exactement celle de la Rome Antique, 64 ans avant notre ère où il était question du grand incendie et le début des persécutions des chrétiens. En effet, ceux qui refusaient de vénérer les dieux romains étaient envoyés dans la fosse aux lions.

Selon d’autres interprétations, l’expression viendrait des jeux de cirque pendant l’époque romaine où l’on enfermait les condamnés avec des lions où ils étaient déchiquetés.

Expression française synonyme : Jeter quelqu’un dans la gueule du loup

Signification : Recourir à ses dernières ressources, au dernier expédient

Origine : Expression française dont les origines proviennent du vocabulaire du moyen français où l’ancre sacrée fut l’ancre dédiée aux dieux pendant les jours de disette. Chez les chrétiens, il existât une ancre bénite jetée pendant le danger appelée l’ancre de salut.

De nos jours l’ancre sacrée aurait nettement perdu son caractère religieux et prendrait un poids plus considérable ce qui fait que l’ancre sacrée ne garde que son sens figuré à savoir le fait de recourir à ses dernières ressources.

Signification : Laisser une chose à la chance et au hasard

Origine : Expression française qui puiserait ses origines dans un jeu appelé jouer à croix et à pile devenu par la suite jouer à pile ou face quand les monnaies du temps de Saint-Louis portaient sur une face la croix et sur l’autre les piles ou piliers.

Peu à peu cette expression prit le sens au XVIIème siècle de partage de ce que l’on a avec d’autres et, le pot impliquerait la bouillie ou la soupe cuite dans le pot ou marmite destinée à cet usage et le rôt serait un diminutif de rôti.

Signification : Je ne vous parle pas, je vous demande de vous mêler de vos affaires

Origine : Locution proverbiale devenue expression française très familière car demander l’heure à une personne semble la manière anodine et plutôt courante d’entrer en contact avec elle, puis, à partir du XVème siècle le fait d’entendre l’heure qu’il est serait équivalent à chercher à comprendre de quoi il s’agit. De ce fait, demander l’heure qu’il est serait expliqué comme le fait de chercher à comprendre ce qui ne le regarde pas et donc le besoin de comprendre serait une sorte de curiosité malsaine.

Exemple d’utilisation : Dites donc, vous, on ne vous a pas demandé l’heure qu’il est ! Comme j’y suis-je plais à mon gars et même qu’il est drôlement mordu pour ma personne. (M. Bahsi)

Signification : Je l’ai connu dans une situation modeste et moins brillante

Origine : Expression française qui remonte au XIXème siècle et qui puiserait dit-on ses origines d’une pièce de théâtre où l’acteur serait un certain monsieur Poirier qui tenait un rôle semblable. Pour d’autres, le poirier serait lié à une anecdote où il était question de remplacer dans une église de campagne d’un Saint-Jean en bois vermoulu par une nouvelle statue en poirier. Du moment que le nouveau saint n’aurait obtenu aucune marque de ferveur, le curé posa la question aux villageois qui répondirent « nous l’avons connu poirier »

Signification : Affirmer solennellement, avec de grandes protestations.

Origine : Expression française qui a connu une grande notoriété à partir du XVIIème siècle mais qui aurait existé dit-on depuis l’époque de La Fontaine qui l’aurait utilisé sous la forme « promettre ses grands dieux ». Elle a du atténuer selon le dictionnaire des expressions et locutions, jurer Dieu par l’allusion au polythéisme antique, et plus particulièrement aux grands dieux olympiens.

Exemple d’utilisation : L’époque des étrennes aura fini, que le livre ne sera pas prêt. Notez que votre légitime m’avait juré ses grands dieux du contraire, c’est-à-dire que nous paraîtrions au plus tard le jour de l’an de 1879 ! (G. Flaubert : Correspondances)

Signification : Tromper quelqu’un en le surpassant par la ruse.

Origine : Expression française dont les origines remontent au XIIIème siècle qui selon les interprétations peut exprimer soit l’humour soit une situation très tendue selon la définition du terme fin. En effet, le terme fin de l’époque serait un nom et non pas un adjectif qui définirait celui qui est habile ou rusé.

Exemple d’utilisation : Bien sur le mal est fait, n’en parlons plus. Nous voulons seulement savoir à qui vous êtes allée vous confier…N’essayez pas de jouer au plus fin, Madame Rodrigue. (R. Vaillant)

Expressions françaises synonymes : Jouer au plus malin, se la jouer fine

Signification : Avoir déjà fait une mauvaise expérience  liée au sujet en question sans avoir envie de recommencer

Origine : Expression française familière qui se baserait sur la métaphore du déjà payé, d’être quitte et le fait de l’utiliser à la première personne constitue un refus en soi de recommencer.

Exemple d’utilisation : On ne m’y reprendra pas, à signer des contrats sans les lire. Les clauses en petits caractères qui vous font payer trois fois plus que prévu, merci bien, j’ai déjà donné. (Wiktionary)