Sert à qualifier un texte adapté et expurgé pour ne pas heurter les âmes sensibles et être lu par tout le monde.
Afin de mieux comprendre les origines de cette expression française, il faudrait commencer par définir les termes qui la composent selon le dictionnaire de l’époque. Le dauphin serait le fils de Louis XIV, héritier du trône sous le titre Louis de France. En effet selon les traditions royales de l’époque le dauphin serait le fils ainé du roi et à ce titre avait droit à une éducation spéciale qui le préparait à son prochain statut. Les ouvrages de référence nécessaires à son éducation étaient très spéciaux et portaient une sorte d’effigie latine à savoir « ad usum delphini » se traduisant par « à l’usage du dauphin ».
Déféquer
Afin de mieux comprendre les origines de cette expression française du milieu du XVème siècle, il faudrait commencer par définir les termes qui la composent selon le dictionnaire de l’époque. Le mot selle viendrait du latin sella et signifie siège et serait utilisée dans un contexte médiéval et dans la langue soutenue pour désigner la chaise percé que les gens fortunés utilisaient pour effectuer leurs besoins.
En fonction des souhaits de chacun.
Locution adverbiale devenue expression française dont les origines remontent au XVIème siècle où le terme envi attesté depuis le XIIème siècle prendrait le sens de défi ou provocation. De ce fait répondre à l’envi de quelqu’un c’est répondre à son défi, l’attaquer en rival. Au fil du temps l’orthographe du terme envi à changé avec le rajout du « e » ce qui a conduit à une évolution dans le sens de mieux faire selon les désirs et souhaits, sans idée de défi ou de lutte.
A l’agonie, près de mourir.
Afin de mieux comprendre les origines de cette expression française qui daterait du milieu du XVIème siècle, il faudrait commence par définir le terme article selon le dictionnaire de l’époque. Partant du fait que « à l’article de la mort » serait la traduction intégrale de l’expression latine « in articulo mortis », l’article en question prendrait le sens de moment à savoir celui d’une division temporelle et de ce fait à l’article de la mort en référence à sa version latine se traduirait par « au moment de la mort ».
Conséquence directe de ce qui a été effectué auparavant.
Expression française du XIXème siècle qui puiserait ses origines dans le domaine de la musique. En effet, au niveau du solfège, un dièse ou un bémol à la clé, basé en début de portée peut modifier cette dernière et indique la tonalité. Les notes seront donc jouées en fonction des clés mises au début de la portée ceci pour pallier aux mauvaises prestations. Dans un sens plus figuré, à la clef va indiquer une modification de perspective par un élément.
Le fait de donner de fausses alertes rendrait la vraie vaine et inutile, exagérer l’alerte.
Expression française dont les origines sont très anciennes et remontent à quelques siècles avant JC quand Esope édita une fable dont le titre était « le garçon qui criait au loup » qui relatait l’histoire d’un berger qui criait au loup pour ameuter les gens du village parce qu’il s’ennuyait. A force de recommencer à maintes reprises la même alerte les gens finissaient par ne plus y croire et ne bougèrent plus au moment où le vrai loup ait apparu pour attaquer son troupeau.
Il resterait à signaler que vu l’ancienneté de l’expression en question, l’association du loup au danger reste un phénomène logique et compréhensible.
En souhaitant que cela n’arrivera jamais.
Formule d’aversion devenue expression française qui remonte au XIème siècle, extraite de la chanson de Roland sous la forme « ne placet deu » se traduisant par que cela ne plaise pas à dieu. Par conséquent, si quelque chose ne plait pas à dieu, il y a de fortes chances pour qu’elle n’arrive jamais.
Avec de bonnes raisons tout en étant au courant de la situation
Afin de mieux comprendre les origines de cette locution lexicalisée devenue expression française, il faudrait commencer par définir le terme escient selon le dictionnaire de l’époque.
Escient au XIIème siècle viendrait du verbe latin scire signifiant savoir et à bon escient se traduirait donc par le fait d’agir en connaissance de cause.
Au XVIème et au XVIIème siècle, « à bon escient » prit le sens de véritablement, sans plaisanter.
Par contre et selon les explications prodiguées par les interprètes de l’époque, à bon escient suivrait plutôt la logique de à mon escient du XIIème siècle pour dire en connaissance de cause.
Avoir des problèmes de digestion au point de ressentir des nausées.
En définissant cette expression française par une interprétation médicale, il en ressort que le fait de subir les effets indésirables d’une indigestion alimentaire n’a aucun rapport avec l’organe en question qui est le foie et dont les pathologies sont nettement plus dangereuses. Il s’en suit donc que la crise de foie serait tout simplement une expression propre aux pays latins et servait à décrire un malaise médico-mondain selon le journal Le point à la fin des années 1970. De ce fait la crise de foie en question serait une expression purement française qui reposerait sur de simples croyances et non pas sur des faits scientifiques.
Avoir de la malchance
Expression française populaire ayant vu le jour au XIXème siècle dans le sens d’avoir de la chance où la cerise viendrait s’opposer à la guigne qui serait un autre fruit symbole de la malchance. Peu à peu la cerise devient représentative de malchance comme les prunes ou les nèfles qui restent les fruits de faible valeur.